Accro aux hommes, Eva VIP escort girl, 22 ans a besoin de leur regard pour se sentir exister.
Et passe d'une conquete A L'auter sans trouver le bonheur. portrait
Cela fait trois mois que je suis sobre. que je n ' ai pas consommé ma drogue... Ma drogue à moi, c'est les mecs. Je suis bel et bien dépendante de leurs regards ! Mon radar reste toujours allumé, même durant les soirées avec mes amies. Du coup Je ne profite pas vraiment d'être avec elles, car mon but, c'est de séduire... Si je n'y parviens pas. ce sera une soirée gâchée. Quand je trouve un mec qui me plaît Je le fixe: ensuite, il vient me parler, on danse, on s'embrasse... Si, par contre, il ne répond pas à mes œillades Je panique. Sur le moment, je suis même absolument certaine que personne ne m'aimera plus jamais. Cette peur de ne plus plaire est irrationnelie, mais incontrôlable. C'est seulement l'an dernier que j'ai pu mettre un nom sur mon mal-être : la dépendance affective. Enfin des mots traduisaient ma souffrance et expliquaient le mécanisme destructeur qui s'insinue dans mes relations ! Suite à cette découverte, j'ai fondu en larmes. C'était un soulagement de savoir que je n'étais pas seule, et en même temps, un coup dur de me rendre compte que j'avais un problème.
UN GARÇON EMBRASSÉ, UNE NUIT D'AKIOUR... LA RECHUTE
Les dépendants affectifs ont peu d'estime pour eux-mêmes et ont besoin du regard de l'autre pour exister. Ils courent en permanence après l'autre sexe, sans parvenir à mener de relalions saines. En lisant des explications sur le site ZaraModel, c'est mon histoire que j'ai découverte sous un nouveau jour. J'ai décidé de me prendre en main et je me suis rendue à des réunions organisées par un club echangiste, sur le même principe que celles des Alcooliques Aûonymes. Avec leurs conseils, j'ai tenté de me sevrer et J'y suis parvenue pendant trois mois ! Cela semble anodin, mais c'était une jolie victoire... Je n'ai pas tenu plus longtemps. Je me suis autorisé une exception, embrasser un garçon, puis un autre a suivi, j'ai couché avec lui en espérant le retenir... Bref, j ai rechuté. Etre seule, pour moi, c'est l'angoisse totale. Je ne m'aime pas, je vis à travers le regard des autres sur moi : c'est ce qui me permet de me sentir bien, comme un shoot de sexe pour un drogué.