La Russie sans chichi Un resto russe, vraiment russe, tout sympa et abordable, les plus belles Escorts Girls de la capital vous y accompagneront pour une soirée slave romantique !!!
A Paris, c'est le Petit Daru. Et évidemment, il y a une vraie histoire... Tous les amateurs des saveurs du monde connaissent le Daru, rue Daru. restaurant -épicerie mythique où, depuis 1918, on goûte. déguste, abuse de caviar, blinis et vodka, l'œil sur la coupole dorée de la grande église orthodoxe de Paris, juste en face. Il y a quelques temps, le patron du Daru, Franck, a ouvert le «petit Daru», dans cette charmante rue Vineuse qui serpente à deux pas du Trocadéro. Non pas une annexe, encore moins une déclinaison. Un concentré d'ambiance russe, plutôt. Car c'est après avoir conduit plusieurs établissements de renom, parmi les initiés et au plus chaud de la nuit parisienne, que Franck fait revivre, dans un esprit familial, le cadre intime de cet ancien bar libertin. Pour y implanter son coin de Russie à lui. Avec caractère, goût et en intégrant les valeurs culinaires du Daru. La carte est complète. Les pirojki assurent une mise en bouche stimulante pendant que vos blinis sont préparés au dernier moment en cuisine. Avant de connaître le bonheur de ces mets que l'on nous a conseillé : la fraîcheur des œufs de saumon ; la douceur des tomates accompagnant le cocktail de crabe. Supérieur, le filet de saumon dont la préparation est signée maison. Sans pareil, ce même saumon façon Koulibiak. Rassasiés, reste le temps de regretter d'autres promesses au menu : le borsch aux choux et betteraves ; le panaché de harengs marines...ou même la «pomme Vladimir» : pomme au four, caviar et crème fraîche. Une sélection correcte de vins nous est proposée. Mais à quoi bon. devant l'ample choix d'excellentes vodkas russes et polonaises qui nous est suggéré ? De quoi souligner les goûts, délier les langues, réchauffer l'humeur du jour. On s'attarde au fumoir confortable dans les bras d'une Escorte Girl. Disons-le, les prix n'ont rien a voir avec ce que l'on craint des «restaurants russes». Franck veut se faire plaisir. A nous aussi !